Principe de fonctionnement

Afin de réaliser la combustion d’un hydrocarbure (combustible), il est nécessaire de le combiner à l’oxygène de l’air (comburant) : de la QUALITE de ce mélange découle l’EFFICACITE DE LA COMBUSTION.

Qu’est-ce qu’un hydrocarbure ?
La famille des hydrocarbures regroupe les combustibles liquides et gaseux tels que les essences, le gasoil, les fiouls, le gaz naturel, le bio-gaz, le butane, le propane, etc… Le méthane (de forme chimique CH4) est le plus simple des hydrocarbures : il est le constituant principal du gaz naturel (à 90%) et une source importante d’hydrogène. Sa molécule est composée d’un atome de carbone et de quatre atomes d’hydrogène ; sa charge électrique est neutre. Lors de la combustion, d’un point de vue énergétique, la plus grande partie de l’énergie libérable provient de l’oxydation de l’hydrogène.

Pourquoi les hydrocarbures prennent-ils une charge magnétique ?
Le champ magnétique peut changer l’orientation orbitale de l’électron relativement à la rotation du noyau. Sous l’état normal stable « Para-Hydrogène », la molécule a une rotation d’électron dans la direction opposée à celle du noyau. Une fois affecté par le champ magnétique, l’électron prendra l’énergie et commencera à tourner dans la même direction que le noyau. Puis, selon l’intensité du champ magnétique, le noyau et l’électron orbital s’alignent vers la gauche ou la droite : c’est ce qu’on appelle la polarisation, phénomène diélectrique à l’échelle macro-moléculaire ; d’autres phénomènes se produisent à l’échelle micro-moléculaire. Ils sont régis par des lois physiques de base, du domaine de la physique quantique.

Pourquoi brûlent-ils mieux sous l’influence de champs magnétiques ?
Les hydrocarbures sont structurés en « cage » : par défaut, ils ont tendance à être dans un état stable et à se lier entre eux pour former des grands groupes de faisceaux (ou associations). L’oxydation (synonyme de combustion) des atomes de carbone situés aux centres des molécules est « gênée » par les atomes d’hydrogène qui l’entourent. De plus, l’accès privilégié de l’oxygène à l’intérieur de ces groupes de molécules, est souvent rendu difficile.

L’exemple du méthane, hydrocarbure le plus simple et constituant essentiel du gaz naturel, est à la fois clair & simple : dans la combustion d’une molécule de méthane (CH4) avec l’oxygène (O2) de l’air, il en résulte au final de la réaction chimique du dioxyde de carbone (CO2) et de la vapeur d’eau (H2O).

L’équation réelle d’oxydation s’écrit ainsi : CH4 + 202 = CO2 + 2H2O.

Synoptique de fonctionnement

L’objectif recherché par l’action d’une solution Swiss2e® est d’augmenter la réactivité du fluide avec l’oxygène, lors de la réaction :

HYDROCARBURE + OXYGENE = ENERGIE + EAU + CO2

Dans la réalité, c’est un processus de combustion incomplet : cette quantité d’atomes de carbone incomplètement oxydée va ainsi former des molécules de CO & HC, polluantes, nocives & mortelles!… Chimiquement, l’oxygène contenu dans l’air, de valence [-2] (qui correspond à un manque d’électrons) est négatif, alors que les combustibles présentent des structures moléculaires neutres. De part ses caractéristiques, l’atome de carbone peut aussi bien avoir une valence positive que négative (surplus ou insuffisance d’électrons dans sa périphérie). C’est pourquoi les molécules ayant les mêmes potentiels négatifs « se repousseront », et provoqueront ainsi une combustion moins aboutie.

Les différentes recherches menées depuis quelques années ont démontré que modifier les propriétés de rotation de la couche externe de la molécule d’un hydrocarbure augmentait sa réactivité lors de la combustion. Un champ d’ionisation suffisamment puissant peut transformer de manière substantielle l’atome d’hydrogène ; le rendant ainsi plus énergétique, plus volatile & capable d’attirer à lui plus d’oxygène. Le gage d’une combustion ABOUTIE !

 

 

 

 

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